Altitud

Hier, c'était la sortie "officielle" du premier vidéoclip du groupe Sabir composé de quelques-uns de mes amis. C'est un groupe avec qui j'ai travaillé à quelques reprises en enregistrant des démos avec eux et en assistant à l'enregistrement de leur premier album qui est sorti au cours de l'été passé.

Pour ce vidéoclip, ils ont pu compter sur le grand talent d'un de leurs amis, Michel Cordey qui est cinéaste diplômé, afin de leur donner un produit final très intéressant pour un groupe amateur.

Ceux qui seraient intéressés à entendre d'autres extraits peuvent consulter leur MySpace ou encore acheter leur album en ligne sur le iTunes store. Il doit aussi rester quelques copies du CD au mexicain si vous arrivez à l'attraper! De plus, le deuxième album (on peut pas vraiment encore parler d'un album!) est en train d'être concocté, il y aura sans doutes des démos à vous faire entendre sous peu!

Bravo à Darian, Jé, Max, Rheault, Dave, Guillaume et Seb pour cet exellent travail!

Ce qui devait arriver arriva

Petit billet sur une nouvelle qui m'a interpellé. Un autobus qui se fait emboutir par un camion à un passage à niveau sur la 132 près du parc scientifique de Varennes. En effet, les autobus ont l'obligation de s'immobiliser aux passages à niveau, même sur une route où la circulation se fait généralement à 110km/h

http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/les-patrouilleurs/201011/03/01-4338965-un-camion-cube-percute-un-autobus-sur-la-132-un-mort.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1

Bien que l'accident puisse sembler des plus banals, c'est que je prenais cet autobus à tous les matins/soirs pendant l'été pour me rendre à mon travail, et à chaque fois qu'on arrivait à ce passage à niveau, je me disais qu'une voiture finirait bien par nous emboutir. Habituellement on ne voit pas de véhicules s'immobiliser sur une route de ce type, certains conducteurs distraits pourraient tout simplement ne pas avoir le temps de remarquer que le véhicule devant eux s'arrête...

Mais bref, ce qui devait arriver arriva.... Je suis seulement content de ne pas avoir été dans ce bus à ce moment là et j'espère qu'aucun de mes anciens collègues de travail ne s'y trouvait!

Entendu de la bouche de plusieurs écologistes

"La planète est finie anyway, autant mieux en profiter le plus possible avant qu'on crève!"

Bon, je l'ai pas entendu directement parce que c'est sorti dans un débat à la troisième heure du cours de chimie de l'environnement (et que je reste rarement plus d'une heure dans ce cours là...)

Mais tout de même.... Peut-être que certains se sont trompés de domaine?! Les écologistes sont sensés montrer le bon exemple, pas inviter le monde à polluer encore plus comme si il était déjà trop tard.

Ça me décourage un peu...

Billet de geek

Après avoir écris deux billets qui n'ont pas réussi à passer mon filtre d'autocensure, je me suis lancé ce matin dans une quête à laquelle je songeais depuis belle lurette...

En effet, c'est en rédigeant ce deuxième billet censuré que m'est venu à l'esprit une question fondamentale (bon peut-être pas si fondamentale que ça!)... Qu'est-ce qui me pousse à continuer d'utiliser Windows dans ma vie de tous les jours. La réponse est plutôt simple.... Deux suites de logiciels desquels j'abuse abondamment: Microsoft Office et Adobe Creative Suite...

Dans le cas d'Office, j'aurais opté pour la suite gratuite OpenOffice depuis bien longtemps, mais pour des questions de compatibilité dans mes travaux scolaires et rapports professionnels, j'ai préféré rester avec les logiciels les plus répandus. Dans le cas de la suite Creative de Adobe, la question est différente. En effet, ces logiciels sont tellement puissants qu'ils n'ont pas vraiment d'équivalents de taille en Open Source... Bref, c'est principalement Photoshop qui me faisait coller à Windows...

J'ai alors décider d'essayer l'option Wine...Il s'agit d'un logiciel qui sert à faire une interface entre l'environnement Windows et l'environnement Linux, ce qui me permet d'installer des logiciels conçus pour Microsoft sur n'importe quelle distribution Linux. Étant très sceptique au départ, l'expérience c'est avérée, jusqu'à maintenant, un franc succès!

Comme en témoignent les deux prises d'écran suivantes, l'installation d'Office 2007 sur Ubuntu 10.04 s'est fait sans aucun problèmes!

J'ai même réussi à installer Antidote et son merveilleux dictionnaire des synonymes sans lequel je n'arriverais pas à écrire 3 mots d'affilée... Reste à m'attaquer à la suite d'Adobe, mais selon ce que j'ai lu, cela ne sera pas un problème.

Voilà, c'était mon billet de geek de la semaine...

Halloween

Hier soir en me couchant, il y avait quelques flocons, l'hiver qui fait son agace quoi... Résultat, un beau petit tapis blanc ce matin!

J'avais déjà raconté à quel point la première neige me rendait nostalgique dans ce billet qui date maintenant de presque un an. Mais bref, si vous regardez attentivement les dates, vous verrez que l'année passée, c'était le 9 décembre... Environ 5 semaines plus tard! C'est tout de même étrange de se promener le soir de l'halloween parmi les citrouilles couvertes de neige et les petits bonhommes blancs beaucoup trop en avance dans leur temps!

Pardonnez mon cellulaire pour la pietre qualité des photos, il fait de son mieux!

Fuck All

Clairement un peu trop amoché ce matin, j'arrive à mon cours avec trois heures de sommeil dans le corps. Une soirée qui se termine à 5h du matin avec de la chartreuse, ce n'est jamais un bon signe... Bref, je m'assois tout au fond de la classe, la tête accotée sur le bureau, et j'essaie de comprendre quelque chose au chinois qu'on me balance par les oreilles (voir l'image ci-dessous pour un exemple...)

(edit: Censure! tom, tu sauras pas ce que j'ai dis sur toi!)

Bien évidemment, le prof, dans son entrain habituel, n'a pas manqué de faire remarquer à tout le monde à quel point j'étais "fuck all" ce matin... D'ailleurs en regardant mes courriels ce soir, j'ai trouvé ce message (plutôt, cette image) venant de lui:

Sympathique tout de même! Mais bon, contrairement à ce cucurbitacée j'ai au moins gardé tous mes morceaux hier :p

Taciturnité

Ça y est... J'ai beau vouloir le fuir, chercher un moyen de le contourner, le conjurer, l'éliminer, le rayer de la carte, l'atomiser; c'est inévitable. Dans moins d'une semaine, je devrai y faire face comme un homme, me tenir debout, prendre le coup en plein visage et me défendre du mieux que je le pourrai. Et comme à chaque année, c'est moi qui perdrai inexorablement le combat, je serai contraint à me soumettre à lui tel un vassal à son suzerain et patienter jusqu'à la fin de son règne acariâtre. Envahissant d'acerbité, aussi âpre que le pire des tyrans, il répandra la désolation, la nostalgie et l'ennui dans son sillon grisâtre. Puis, après quatre longues semaines d'affliction, son valeureux successeur affranchira les misérables en parsemant le sol dénué de vie de son voile blanc immaculé. C'est alors que je saurai qu'il me restera onze mois de liberté avant l'inévitable résurrection annuelle de ce sadique persécuteur.

Vous aurez probablement compris que je parlais du mois de Novembre, sans doute mon pire ennemi puisque je ne connais personne digne d'être haïe autant que lui. Mon aversion envers la plus mal-aimée des douze lunaisons n'est a priori pas justifiée, d'ailleurs, c'est même elle qui avait sorti mon blogue de l'oublie il y a de cela moins d'un an: Dehors Novembre. C'est tout simplement que je prend un malin plaisir à le sataniser et le rendre responsable de toutes les misères du monde. Quoi? Il me faut bien un bouc émissaire!

C'est pourquoi je suis convaincu que le prochain Novembre ne sera pas aussi affreux que celui que j'ai décrit plus haut... Après tout, ce ne sont que des hyperboles et des métaphores!